dimanche 17 mai 2009

Segovia

La ville et superbe, sur un fond de montagnes encore enneigées. Nous entrons dans la vieille ville sur des ruelles si étroites que nous sommes heureux de ne pas avoir une voiture plus grande.

Escorte de la police qui nous montre le chemin – car l’hôtel est sur une rue à circulation restreinte. Il n’est pas super, mais bien situé, à 50 m de la place centrale.

Après une petite sieste (nous commençons à prendre le rythme espagnol), une visite de soir, avec une vue superbe sur Alcazar au coucher du soleil.










Restos et terrasses

Jusqu’ici, déception totale pour la nourriture; comme on ne trouve pas des sandwiches mangeables (seulement quelques-unes unes tenues au chaud! Et pas du tout appétissants) – nous voulions célébrer les 6 mois de Filip dans un restaurant sur la place centrale, La Taurina.

Mauvaise idée, dorénavant nous allons éviter la place centrale.

Au menu : sopa castillana (un œuf, du pain et de la sauce tomate dans l’eau…aucun goût); Plat principal aussi mauvais, le poulet plein d’huile…et du porc…en fait des tranches d’une sorte de jambon dans une sauce douteuse… Et très cher en plus!!!

Nous nous ennuyons déjà des crêpes, sandwiches baguette et pâtisseries françaises…(car les croissants en Espagne n’ont rien à voir), et nous espérons trouver un moyen de s’alimenter dans le prochain mois. Enfin, comme le vin n’est pas cher, après 2 verres de vin nous oublions et nous rions de tout ça.

Encore une chose : les terrasses sont très belles…et vides! Alors que les gens restent debout, un verre à la main, devant une sorte de fenêtre ouverte qui sert de bar. Car sur la terrasse tout est 0.5 EUR plus cher. Mais ils ont l’air de bien s’amuser, c’est ce qui compte après tout.

















Le lendemain nous explorons la ville presque rue par rue, visite Alcazar (très joli, belle vue d’en haut), le Viaduc romain qui apportait de l’eau du rio Frio (nous allons jusqu’au bout, sur l’autre colline), les églises romanes, les petites rues piétonnières ou non.



Nous montons, nous descendons (car la ville est perchée sur une colline).

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